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L'ostéopathie Mise à jour 7/06

 

 

 

 

 

 

Une démarche scientifique pour l'ostéopathie?
Voyez l'Académie d'ostéopathie de Belgique

 

 

 

 

 

C'est quoi?
L'ostéopathie originelle a été créée par Still aux Etats-Unis en 1874 (Cf ci-dessous). Mais elle n'a plus grand chose à voir avec l'ostéopathie moderne, qui s'est enrichie de conceptions variées et souvent complémentaires. L'ostéopathie ayant toujours été une affaire de "gourous", il existe de nombreuses méthodes qui portent toutes le nom de leur créateur. La pratique d'un ostéopathe est donc très différente selon ce qu'il emprunte à telle ou telle méthode. Sa formation relève d'un compagnonnage avec un autre ostéopathe plutôt que d'un apprentissage classique dans les livres, et lui-même personnalise sa pratique au fur et à mesure que s'étoffe son expérience. Les techniques combinent des mises en tension musculaires, des étirements, des raccourcissements, des pressions et glissements sur les tissus, des recentrages articulaires (voir aussi manipulations). La plupart des ostéopathes prennent un "monopole" sur l'entretien de votre squelette et vous disent de repasser faire des séances à intervalles réguliers. Les plus éclairés (et les moins commerciaux!) vous donnent des conseils d'hygiène de vie et vous montrent des exercices pour entretenir le résultat. Il faut dire à décharge que cela prend du temps et que cela justifie de faire une séance indépendante, voire plusieurs, avec une participation importante de votre part: certains ne sont pas demandeurs. Les meilleurs résultats s'obtiennent avec l'aide d'un support multimédia, CD-ROM ou cassette vidéo, que vous pouvez consulter chez vous à loisir. C'est utilisé en école du dos. Mais les dérives liées au piratage limitent ces initiatives.

Faut-il la rembourser?
L'ostéopathie est en France objet de médecine à 2 vitesses: une séance est facturée en moyenne dans les 50€, ce qui est modeste quand elle dure de 30 à 45mn, mais difficile à assumer pour les ménages modestes, même si les séances sont rarement répétées à moins d'un mois d'intervalle. Chez un non-médecin, aucun remboursement possible (sauf mutuelle très généreuse... et très coûteuse); chez un médecin non conventionné, remboursement sur tarif de responsabilité de la sécu: peanuts! Chez un médecin conventionné mais pratiquant des dépassements (sinon il vaut qu'il fasse autre chose pour nourrir sa famille), remboursement sur la base du tarif généraliste (20€ au 16/11/03) ou spécialiste (25€) selon son diplôme.
Faut-il alors rembourser tout ou partie des séances d'ostéopathie pour que la solidarité ne boude pas ce secteur de la santé?
La question est justement de savoir si l'ostéopathie relève de la solidarité ou non. C'est un problème qui concerne l'ensemble des soins de santé. Par exemple, les anglais ont clairement posé le problème de savoir s'il faut rembourser solidairement les soins d'un cancéreux ou d'un artéritique qui continue une intoxication par le tabac en étant parfaitement au courant des risques encourus.
L'ostéopathie traite des problèmes qui proviennent à 90% de l'hygiène de vie. On n'est pas génétiquement exposé à faire plus de blocages vertébraux qu'un autre. Les problèmes de fonctionnement du squelette ne sont pas insurmontables (sauf quand ils sont causés par un autre handicap). Leur prévention est facile mais demande du temps et de la motivation. C'est une situation analogue au diabète déclenché par l'obésité: si l'on fait l'effort de maigrir, le diabète disparaît totalement.
Il est certain que certaines professions favorisent moins une hygiène de vie correcte que d'autres. A dire vrai, l'évolution générale de toute notre société tend vers une hygiène de vie physique défavorable. Le boom des activités physiques de loisir s'est cantonné à une frange de la population, et peut-être même à une génération, car on n'a pas l'impression qu'elles passionnent les jeunes autant que l'électronique personnelle. Le seul apport positif récent a été les RTT (enfin un avantage aux 35 heures!). Mais elles ne se sont pas accompagnées d'une évolution des mentalités sur la consommation et les contraintes économiques: si l'on va faire de la randonnée pendant ses RTT, ça coûte moins cher que de rester à la maison; si par contre on veut prendre l'avion pour un petit voyage à l'étranger, il faut un salaire plus élevé; ça coince...
Il est impossible de réclamer le remboursement de l'ostéopathie dans le contexte actuel de l'inflation des dépenses de santé. Cette inflation vient justement de dépenses prises sur le budget de la sécu, qu'elles relèvent de la solidarité ou non. L'ostéopathie traite des affections parfois très douloureuses mais non vitales, et de ce point de vue reste une médecine non prioritaire (évitons le terme "de confort"). La plupart des gens qui en bénéficieraient le plus ont surtout besoin de se bouger un peu.
Cette diatribe peut cependant s'appliquer à de nombreux autres secteurs de la médecine. La grande injustice est que l'ostéopathie soit arrivée en queue de peloton dans les médecines de confort à forte popularité, et qu'elle n'aie guère été promue par les médecins eux-mêmes. Il n'y a plus de sous pour l'ostéopathie parce qu'ils sont déjà utilisés pour la kinésithérapie, les cures thermales, l'homéopathie, les médicaments de confort, les examens complémentaires de "rassurance" du patient. Le bénéfice de tous ces traitements n'est pas vraiment évalué. L'ostéopathie serait à mon avis certainement en tête des médecines non prioritaires mais à fort bénéfice (évalué objectivement) pour les patients.
Il faudrait donc, avant de parler de remboursement de l'ostéopathie, dépoussiérer largement le système de santé actuel. Il faut un débat sur ce qui relève de la solidarité ou non, il faut évaluer le reste objectivement, informer, et, pourquoi pas, demander aux assurés (qui sont les payeurs) ce qu'ils souhaitent voir rembourser de préférence. Un dernier point essentiel est le niveau de remboursement: les soins non indispensables ne devraient jamais être remboursés intégralement. Il faudrait une loi qui interdise à des assurances complémentaires de rembourser à 100% une prestation qui est en partie remboursée par la sécu. Ce n'est plus une liberté de choix personnelle: Quand le remboursement intégral rend les soins gratuits, leur "consommation" excessive prélève davantage sur la sécu et donc sur le budget de solidarité.
Remboursement à 100% de l'ostéopathie par des assurances privées? Pourquoi pas? Cela ne viendra pas empiéter sur la solidarité. Cela peut marcher, avec des cotisations paradoxalement très raisonnables si l'assureur applique un système de bonus-malus. Personne n'est obligé d'aller très souvent chez l'ostéopathe, et l'augmentation du coût d'assurance par un recours fréquent est une incitation à faire plus souvent ses exercices soi-même et n'aller voir l'ostéo que quand on y est contraint.

à cet article. Vos idées qui font avancer le débat seront éventuellement publiées en addendum, sauf si vous exprimez le souhait contraire. Merci de préciser qui vous êtes.

Inconvénients et dérives de l'ostéopathie
L'ostéopathie est décriée par une partie de la médecine. Elle est née et s'est développée dans des conditions fort peu scientifiques, attirant comme un aimant les charlatans de tout poil. "Les aspects douteux de l'ostéopathie" est un article d'un médecin américain retraçant de façon critique l'histoire de cette discipline.
L'ostéopathie n'est pas une médecine "douce". Certaines techniques sont pénibles. D'autres effraient (les manipulations). Enfin des complications sont possibles. Des décès surviennent après manipulation cervicale, par lésion des artères vertébrales. D'autres accidents graves sont possibles, paralysies par lésion des nerfs ou de la moelle épinière.
Ne paniquez pas! Ces accidents sont exceptionnels par rapport au nombre de manipulations pratiquées. Vous avez statistiquement plus de chances de décéder après avoir avalé un seul comprimé d'anti-inflammatoire! Et beaucoup plus de mourir dans un accident de voiture en allant chez le médecin...
En fait les incidents habituels sont beaucoup plus bénins, réveil temporaire de la douleur, apparition d'une sciatique après manipulation pour un mal de dos. Ils ne remettent pas en question l'intérêt de l'ostéopathie. Mais ils devraient rendre prudents les thérapeutes quant à l'indication des techniques agressives, en particulier des manipulations.
La majorité des accidents vient d'une insuffisance de diagnostic. Rappelons que les ostéopathes non médecins ne peuvent pas prescrire d'examens complémentaires. Corporatisme médical... Changer cette disposition entraînerait une inflation de scanners et d'IRM injustifiés, faits par "prudence", et coulerait un peu plus cette pauvre sécu. Mais les médecins non spécialistes connaissent très mal les problèmes ostéo-articulaires et prescrivent eux aussi un grand nombre d'examens de médiocre rentabilité. Sans parler des médecins, spécialistes ou non, qui remplissent la demande pour faire plaisir à leurs patients. On pourrait craindre que ce phénomène soit encore plus développé chez des ostéo non remboursés, plus dépendants de la satisfaction de leur clientèle. D'autant qu'ils sont formés actuellement en larges cohortes; cette clientèle sera plus restreinte et migratrice.
Ne soyez pas craintif au point de réclamer une IRM avant toute manipulation. Ce n'est pas seulement une histoire de coût. L'examen n'est pas confortable, ne précise aucunement les indications de la médecine manuelle (un "blocage vertébral" ne se voit pas sur cet examen, statique et de définition insuffisante), peut induire le médecin en erreur (hernie discale ancienne et figée, sans rapport avec les douleurs actuelles et ne contre-indiquant pas les techniques manuelles). Et surtout il demande un délai, ce qui peut "enterrer" de façon défavorable un dérangement articulaire et le rendre plus difficile à soigner. Retenez une règle: traumatisme vrai = examens complémentaires, pas de traumatisme = traitement manuel d'épreuve. Analysez donc objectivement ce qui vous est arrivé. Mais surtout, voyez un diagnosticien compétent. C'est là où le bât blesse avec les non médecins: ils ne côtoient pas la pathologie de façon suffisante pendant leur formation et l'apprennent sur le tas. Pour les médecins, c'est le contraire: bien formés aux pathologies graves à l'hôpital, ils ne savent pas reconnaître l'origine des douleurs articulaires du quotidien, sauf à s'être intéressés à des formations complémentaires.
Il vous faut donc choisir votre thérapeute avec discernement. Vous pouvez aller voir directement l'ostéo si vous avez déjà eu un problème du même genre et qu'il l'a résolu. Attention de prendre un avis médical si vous affrontez une douleur inhabituelle, diagnostiquée par la concierge qui vous a conseillé son ostéo.

Se soigner par l'ostéopathie, du Dr Gilles Mondoloni
La bible pour le grand public !

Illustré de nombreux exemples, ce guide permet de comprendre les fondements de l'ostéopathie et ses différentes applications. Chaque indication est présentée dans le détail, complétée par des informations pratiques: quand consulter, nombre de séances, contre-indications éventuelles.

Le plus : Des exercices d'auto-ostéopathie vous permettront de prévenir les premières douleurs ou d'entretenir le résultat.
Prise en charge, législation, adresses: toutes les réponses pour choisir en connaissance de cause un thérapeute si nécessaire.

Que faut-il retenir ?
L'ostéopathie est un ensemble de techniques de traitement des articulations et des tissus dont le mode d'action et les indications restent imprécis. Schématiquement le cheminement de la médecine scientifique classique est: observations -> théorie -> mise au point d'un traitement -> vérification de son efficacité. L'ostéopathie n'emprunte pas ce cheminement, ce qui l'a longtemps fâchée avec l'Académie de Médecine; c'est plutôt: expérimentation à partir d'un cas fortuit (la technique manuelle est souvent découverte par hasard) -> mise au point d'une théorie -> pas de vérification de la théorie qui reste à l'état de croyance.
Cela n'enlève rien à l'efficacité parfois spectaculaire de la technique. Mais vous devinez les inconvénients de ne pas savoir avec certitude comment cela marche: difficulté à reproduire les résultats, à enseigner la technique, à sélectionner les patients les plus aptes à en bénéficier.
La lésion ostéopathique est sommaire: c'est une restriction de mobilité. En clair, l'articulation n'est pas aussi mobile qu'elle devrait l'être dans un secteur particulier. Cette différence s'apprécie par la comparaison au côté opposé quand c'est une articulation des membres, par rapport aux vertèbres sus et sous jacentes quand il s'agit de la colonne.
Ainsi la lésion ostéopathique est un syndrome. C'est-à-dire qu'elle peut traduire différentes anomalies articulaires, qui ne sont pas précisées. Elle traite un symptôme, pas la maladie qui en est la cause. Cette conception heurte beaucoup de médecins attachés à la démarche scientifique traditionnelle. En fait elle est bien adaptée à la multitude de petits problèmes de fonctionnement qui accablent les sédentaires, à cause des postures trop statiques et d'une réduction globable de l'activité physique.
"Petits" problèmes n'empêche pas qu'ils soient très pénibles, mais ils ne correspondent pas à de réelles lésions, plutôt des décentrages articulaires. Aucun intérêt à faire de multiples examens complémentaires comme le font souvent les médecins non formés à l'ostéopathie. Leur rentabilité est extrêmement faible. Ces problèmes n'ont rien de vital et céderaient spontanément si leur porteur s'auto-dérouillait de la bonne façon. L'ostéopathe sert de mécano à ceux qui n'ont pas le loisir ou la patience de modifier leur hygiène de vie. Nous allons essayer dans cette série d'articles de vous en apprendre un peu plus sur la façon de procéder.
Les limites de l'ostéopathie apparaissent quand la lésion sous-jacente à la restriction de mobilité, quelle qu'elle soit, n'est pas capable de guérir spontanément. Grossièrement quand les séances d'ostéopathie ne vous soulagent que transitoirement, ou quand vous avez passé la cinquantaine, il est temps d'identifier un peu mieux ces lésions. C'est l'intérêt de ne pas avoir un praticien trop isolé, enfermé dans sa médecine traditionnelle ou son ostéopathie exclusive. C'est le travail en réseau qui permet de vous faire bénéficier d'examens plus poussés au bon moment, à moins que vous ayez la chance d'avoir un médecin éclectique qui pratique l'ostéopathie et vous prescrira lui-même les examens nécessaires si une première séance est inefficace.

Nouveaux ostéopathes?

Une discussion de mai 08...

De Flo B.

Concernant votre article sur l'ostéopathie que vous avez publié sur votre site internet, et du fait de son contenu je cite :
'Sa formation relève d'un compagnonnage avec un autre ostéopathe plutôt que d'un apprentissage classique dans les livres'
Il est clair que ce genre de propos au vu de la loi est tout à fait calomnieux pour l'ensemble de la profession d'ostéopathie,
comme nul ne doit ignorer la loi... je vous invite à lire attentivement les textes ci-dessous ( sur www.legifrance.gouv.fr ou dans le fichier PDF attaché)
Loi 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé (Article 75 : ostéopathie et chiropratique)
Décret n° 2007-435 du 25 mars 2007 relatif aux actes et aux conditions d'exercice de l'ostéopathie
Décret n° 2007-437 du 25 mars 2007 relatif à la formation des ostéopathes et à l'agrément des établissements de formation
Décret n° 2007-1564 du 2 novembre 2007 modifiant le décret n° 2007-435 du 25 mars 2007 relatif aux actes et aux conditions d'exercice de l'ostéopathie

Comme je suis convaincu du sérieux de votre site et du sérieux dans la profession de rhumatologie je suis sure que vous allez remédier à ce petit problème ( par exemple en enlevant cet article douteux d'internet ).
Merci de votre compréhension.

JPL

C'est étonnant de voir comment la paranoïa sur la médecine manuelle est en train de basculer des grands mandarins vers les ostéopathes eux-mêmes.
Il faut en effet se sentir très attaquée dans sa pratique pour voir dans cette ligne une agression vis à vis des ostéopathes.
Le compagnonnage serait-il pour vous une médiocre voie de formation?
Lisez-vous textuellement que les ostéopathes ne font aucun apprentissage dans les livres?
Je pense que vous êtes une jeune personne, sans doute étudiante,
peut-être auriez-vous du faire du droit... :-(((
Je vais ajouter votre post à la fin de la page plutôt que la retirer,
vous ferez réfléchir tout le monde...

Flo B.

Vous êtes un esprit très éclairé il me semble, si je me permet de vous faire cette remarque c'est que la vison de l'ostéopathie que vous décrivez dans cet article doit changer avec l'arrivée de la nouvelle génération d'ostéopathes.
Il ne s'agit absolument pas d'une bataille rhumatologie VS ostéopathie loin de la...
Mais nous faire passer pour des "gourous", des "commerciaux" et des pseudo praticiens issus de formation type "compagnonnage" c'est grotesque même si je partage votre avis sur les abus du passé.
Lorsque que vous dites :
"La plupart des ostéopathes prennent un "monopole" sur l'entretien de votre squelette et vous disent de repasser faire des séances à intervalles réguliers"
On se demande qui de nous deux se sent le plus menacé dans sa profession?!
Enfin tout cela est d'un ridicule... aucun ostéopathe digne de ce titre n'a le droit de monopole sur un patient.
En tant que webmaster vous êtes responsable de cette image et je peux vous dire que nous sommes nombreux a l'avoir en travers de la gorge.
Oui "nous", étudiants, nouveaux praticiens, nouveaux représentants de la profession en france...
Affichez mon mail je vous prie, au moins cela permettra aux internautes d'avoir un regard critique!
Mais vous feriez mieux en toute âme et conscience de remettre tout cet article a jour.

JPL

Il est exact que la nouvelle génération d'ostéopathes,
dont vous faites partie,
exercera de façon différente.
Mais...
les autres ne sont pas à la retraite.

Ce n'est pas de toute façon le point essentiel.
Il y a plein de vieux ostéopathes dont l'éthique et la rigueur sont indiscutables...
et il y a des médecins délinquants.
C'est une affaire de personnes,
et vous n'avez pas encore rencontré,
pas plus qu'un jeune médecin frais émoulu de la fac,
les tentations et dérives qui surgissent quand votre formation ne vous donne plus les bonnes réponses,
ou quand vos soucis personnels déteignent sur votre pratique.

Lisez sur le sujet " l'abîme sous les certitudes"

Des médecins basculent dans l'homéopathie pour ne pas nuire,
et des ostéos s'enfoncent dans la spiritualité pour ne pas être que des mécaniciens du squelette.

Je connais bien les discussions actuelles au sein de l'ostéopathie,
elles sont loin d'être tendres,
entre ostéopathes holistiques et ceux qui se veulent cartésiens.

Rhumatologie en Pratique est un site d'information pour le grand public,
pas une promotion d'une médecine ou d'une autre.
Les dérives sont pointées de façon identique,
qu'il s'agisse des médecins, des ostéos, des politiciens de la santé.

Les visiteurs savent qu'ils trouveront une information transparente.
ils apprennent qu'il n'y a pas de bénéfice démontré d'uns séance mensuelle "d'entretien" d'ostéopathie,
c'est sans doute même une nuisance si cela les détourne d'un exercice physique régulier.
Aucun bénéfice non plus des anti-arthrosiques de fond prescrits dans les douleurs vertébrales par les médecins.

Je ne revois pas le site tous les jours
mais n'ai rien trouvé de choquant dans cet artcle;
même si vous trouverez sur le blog, catégorie ostéopathie, des choses plus récentes.


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Quand et comment pratiquer soi-même les techniques ostéopathiques?


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